Le sinistre épilogue d'une journée ensoleillée dans le paisible parc de Chenôve, Côte-d’Or, a secoué la tranquillité des habitants. Le 3 mai 2024, aux alentours de l'aube, un promeneur alerte les autorités après avoir fait une découverte macabre : un jeune homme, nommé Grégory, gisant sans vie, partiellement dénudé, sur le sol meurtri du parc.

Son visage, marqué par les stigmates de la violence, et ses vêtements partiellement calcinés évoquent d'emblée un scénario lugubre. Les premiers éléments suggèrent une rencontre funeste dans cet espace jadis paisible.

La rapidité de la réaction des secours a été vaine face à l'ampleur des blessures infligées à Grégory. Transporté d'urgence à l'hôpital de Dijon, l'espoir d'une survie s'est évanoui dans la nuit du 5 au 6 mai, laissant une famille originaire d'Alès, Gard, plongée dans l'incrédulité et le désarroi.

L'autopsie, conduite dans les jours suivants, a dévoilé l'horreur de l'acte. Les conclusions glaçantes ont confirmé les craintes : Grégory, à seulement 22 ans, a été victime de violences d'une rare brutalité. Le procureur de Dijon, Olivier Caracotch, n'a laissé place à aucun doute : la mort de Grégory est le résultat d'un traumatisme crânien grave, indiscutablement d'origine criminelle.

Dans les couloirs des institutions judiciaires, le terme "assassinat" résonne avec gravité. L'enquête, sous la houlette des autorités compétentes, se déploie, fouillant dans l'ombre à la recherche de la vérité. Les premières lueurs de cette investigation révèlent les signes d'une rencontre tragique, soulignant les zones d'ombre qui entourent encore ce crime odieux.